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| Nairo Quintana, international colombien, vainqueur du Giro 2014 |
Il fait parti avec le Tour de France et la Vuelta (tour d'Espagne) des trois plus grandes compétitions de cyclisme au monde. Les meilleurs coureurs du plateau mondial se retrouvent tous les mois de Mai pour parcourir le pays à la botte. L'occasion de voir l'Italie sous toutes ses facettes, de découvrir ses beaux paysages et de voir une bataille forcenée des baroudeurs et des sprinteurs.
Le Giro d'Italia ou le tour d'Italie est considéré comme la seconde, la plus importante des compétitions de cyclisme au monde, derrière le Tour de France. Crée par le quotidien sportif italien, la Gazzetta dello sport en 1909, il est devenu au fil des années, incontournable dans le cyclisme mondial.
La compétition est prestigieuse. Remporter une étape dans le Giro n'est pas donné à n'importe qui. C'est un privilège pour bon nombre de cyclistes. Ce qui attire le plus dans la compétition, c'est déjà le cadre idéale où elle se déroule: les routes italiennes, le paysage atypique des alpes, les villes, les monuments et les édifices historiques. Faire le tour de l'Italie, c'est en fait parcourir son histoire, en corrélation avec sa modernité.
Le maillot rose attribué au vainqueur devient à chaque édition la convoitise des meilleurs cyclistes du plateau mondial. Les meilleurs grimpeurs se livrent une bataille sans merci pour s'offrir la place de leader du classement général. Cette année, le très prometteur cycliste italien Fabio Aru de l'équipe Astana, semble en compagnie du coureur australien de l'équipe Sky, Richie Porte, les plus à même de perturber le grand favoris Alberto Contador de la Saxo Tinkoff, sans oublier le colombien Rigoberto Uran de la formation Etixx Quick Step. Nairo Quintana, Vincenzo Nibali et Cristopher Froome, les autres grands de l'échiquier du cyclisme mondial ont préféré faire l'impasse de l'aventure italienne en vue de mieux préparer la reine des compétitions du cyclisme, le Tour de France.
Cela n'enlève rien au prestige du Giro. Une chose est en tout cas sure: tout cycliste professionnel rêve de porter un jour sur ses épaules, le maillot rose du Giro, comme tout joueur de football rêverait de porter le maillot du Real Madrid ou du FC Barcélone.
La compétition est prestigieuse. Remporter une étape dans le Giro n'est pas donné à n'importe qui. C'est un privilège pour bon nombre de cyclistes. Ce qui attire le plus dans la compétition, c'est déjà le cadre idéale où elle se déroule: les routes italiennes, le paysage atypique des alpes, les villes, les monuments et les édifices historiques. Faire le tour de l'Italie, c'est en fait parcourir son histoire, en corrélation avec sa modernité.
Le maillot rose attribué au vainqueur devient à chaque édition la convoitise des meilleurs cyclistes du plateau mondial. Les meilleurs grimpeurs se livrent une bataille sans merci pour s'offrir la place de leader du classement général. Cette année, le très prometteur cycliste italien Fabio Aru de l'équipe Astana, semble en compagnie du coureur australien de l'équipe Sky, Richie Porte, les plus à même de perturber le grand favoris Alberto Contador de la Saxo Tinkoff, sans oublier le colombien Rigoberto Uran de la formation Etixx Quick Step. Nairo Quintana, Vincenzo Nibali et Cristopher Froome, les autres grands de l'échiquier du cyclisme mondial ont préféré faire l'impasse de l'aventure italienne en vue de mieux préparer la reine des compétitions du cyclisme, le Tour de France.
Cela n'enlève rien au prestige du Giro. Une chose est en tout cas sure: tout cycliste professionnel rêve de porter un jour sur ses épaules, le maillot rose du Giro, comme tout joueur de football rêverait de porter le maillot du Real Madrid ou du FC Barcélone.

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